Keichi Book N° 2

Voici le second numéro du Keichi Book, le journal humoristique de la connerie et des bananes. Ce numéro a été entièrement écrit par mouha, avec son lot d'histoire invraisemblable et grotesque mais qui nous font toujours rire... Bonne Lecture !

Le chien du facteur faisait mouf

La Révélation

    Hier soir, huit heures et quart, madame Placard, descend son chien. "Il a aboyé très fort, nous raconte-t-elle, et puis plus rien, du sang rouge liquide coulait de sa tête. J'avais réussi mon boulot." Soudain, elle entendit le Facteur, qui sonnait à la vitre du four à micro-ondes, elle se précipita à la porte ouverte, et l'ouvrit. C'est alors que le phénomène se produisit, le facteur parla. "Il avait une voix" nous explique Madame Chaussure qui assistait à la scène depuis la chambre de l'amant de la sœur du frère du fils du client de la vendeuse de brins d'herbes (une femme un peu bizarre, qui fait pousser du pain et vend de l'herbe), elle-même sœur de l'oncle du patron de ce connard de merdeux fils de sa mère qui l'a élevé avec un fromage (le fromage est mort il y a deux jours), ce fromage qui avait été fait par la mère de Mme Placard

Madame Placard et le Facteur

    Madame Chaussure cria alors que Madame Placard essayait d'avaler le facteur qui était aussi une autruche. "J'ai vraiment faim aujourd'hui, moi!" déclara-t-elle alors quelle commençait la cuisse gauche. Soudain le lion aboya. C'était deux contre un mais il tint bon, il avait pour arme son fusil à balle rondes multicolores qui font "Bouiing" quand elles rebondissent. Soudain, le soleil dit bonjour et commença à chanter mais un nuage l'en empêcha et le mangea. C'est alors qu'il comprit que sa montre était en retard d'au moins un centième de seconde, elle cria et dans un bruit silencieux, elle partit en sautant sur la tête dans les escaliers qui n'avaient pas de marches. Le chien mécanique vola en lançant des éclairs avec les yeux et en criant : "Bonsaï". Puis il mangea la pomme de ma grand-mère avec ses cornes qui lui poussaient à travers le tapis qui grognait. Madame Placard recracha la cuisse du facteur qui partit en titubant du tuba. "Tu titubes du tuba avec le turban" dit-elle en se mouchant avec les pieds. Et le Soleil s'éteignit, et Madame Placard s'éteignit, tout comme le chien, le lion, Madame chaussure, le facteur et le tuba. Et ils partirent tous, alors, en zigzaguant derrière le chat de monsieur "L'eusse tu cru" qui lui a répondu avec des pâtes.

Nicolas "mouff" RIOLI

L'eau ça mouille le feu qui brûle quand le vent souffle

Hier j'ai respiré

    Hier, alors que je me réveillais après une longue, longue, longue journée de cours, j'entendis une mélodie me percer les oreilles. Cette mélodies si charmante était en faîte une scie circulaire que l'on essayer de m'introduire dans le cerveau.

La scie circulaire était carrée

    Pour changer mes idées, j'introduisit un couteau dans mes oreilles et des stylos dans les yeux, c'est alors que le chien de la scie (qui s'appelait "p'tit Rex") croassa. Il faisait un bruit de scie sauteuse. La scie tomba entre les mains du nain de jardin qui était petit comme un nain (vu que c'était justement un nain). Le nain, en voyant la scie entre ses mains, pris un air satanique et le mangea avec de la moutarde et pis c'est tout. Le chien arriva en volant dans l'eau, une fusée accrochée (ou plutôt plantée) dans son postérieur. Soudain, le soleil parla, il avait un regard brûlant et cuisant qui était chaleureux. Il se baissa et se releva pour se rebaisser. "Mais tu serais pas un peu con ?" dit le chat qui passait par là avec un marteau dans la bouche et une souris dans la main avec laquelle il plantait un clou. "Non non", répondit le Soleil avec une voix emmerdante et un sourire aux lèvres. La lune se leva et alla embrasser le Soleil qui frissonnât. "Qu'est ce que tu as ?" lui demanda la Lune. "J'ai froid !" répondit le Soleil en mangeant une planète qui passait par là. C'est alors que la lune donna un coup de… heu… de pied (?) dans la Terre. "Goal" Cria Saturne alors que la Terre entrait dans le Soleil. Le nain s'écria : "Eh ben dit donc, qu'est ce qu'il fait chaud, aujourd'hui !" La fin du monde arrivait à reculons, le chat mangea le chien mais fut mangé par la souris qui était morte de chaleur.

Nicolas "Heu..." RIOLI

Et maintenant, une des plus grandes histoire du Keichi Book : Le Chien de mon Cousin ! Histoire incroyable mais vrai d'un chien pas tout à fait comme les autres ! Écrit par Moi.

Le chien de mon cousin

Info incroyable sur le Chien de mon cousin.(Tirée d'une histoire à peu près vraie… bon d'accord complètement vraie… "?!?!?")

    Hier soir , mon cousin est allait se promener avec son chien, Connard le Chien, un Pitt Bull croisé avec un siamois, un chameau, une chèvre, un poulet aux hormones, une vache folle, un Le Pen et un… chien.

Une rencontre étonnante.

    Mon cousin marchait tranquillement sur son vélo quand tout à coup, son chien aboyât pour la première fois : “Miaou, Miaou” faisait-il en levant la patte et en pissant sur la jambe de mon cousin cul-de-jatte. Et soudain il se mit à courir sur une patte après un lapin, ce lapin qui avait tué un chasseur, ce lapin, oui, avait un fusil. Puis le lapin se transformât en lièvre, et le lièvre se transformât en tortue, et la tortue se transformât en la Fontaine. Alors Connard le chien sauta et plongea en tourbillonnant dans la Fontaine après avoir fait quatre looping à Mach 2. Malheureusement il n’y avait pas d’eau et le chien ne se transforma pas en poisson bleu, blanc, rouge à pois vert et rose fluo (quel dommage !). Il se releva et vit une apparition et il dit :” Oh ! Qui est tu ? ” Et l’apparition répondit : ” Je suis une apparition que toi seul peut voir, Connard ! ”

    C’est alors que mon cousin arriva : “ Oh, putain, une apparition que toi seul peut voir, Connard ! ” Et il ajouta : “ Tiens j’ai faim.” Et il partit en pédalant par terre  à pied avec ses mains qui venaient de se faire manger par un Diplodocus mort demain avec une poêle dans la main et un cheval sur la langue qui mangeait une banane rouge.

    L’apparition ressemblait à un chien vert avec des corne de vache russe, une queue de rat mort, des dents de poule et des poils de serpents, et il brillait d’une couleur noir fluo. Connard dit : “Pourquoi toi être ici ? “

    “Parce que ton heure est venue, Connard !”, répondit l’apparition, ”Oui, l'heure est venue pour toi de manger le chat Kin’miolpah, mais d’abord tu devras répondre aux trois énigmes qu’il te poseras.” Et l’apparition disparut dans le Soleil, et on entendit un cri comme : “Aaaaah ! Je brûle !” Et puis, plus rien. C’est alors que Connard fut propulser dans un passage dimensionnel et atterrit dans un labyrinthe géant où régnait une odeur de joint. Connard commença à marcher vers la sortie, si il y avait une sortie bien sûr. Après dix heures de marche fatigante Connard arriva enfin à l’endroit d’où il était partit il se dirigea donc dans la direction du panneau marqué “Centre du Labyrinthe”. Il y arriva  trois heures et quatre quart d’heure et demi, et des poussières, après. Et là il vit le chat Kin’miolpah, il s'avança et dit : “grouille toi, j’ai la dalle”. Le vieux chat se leva sur deux pattes  et dit : “Voici la première énigme : Mon premier est une mite, mon second est errant, mon tout est un ancien président  Français.”

    Connard réfléchit quelques heures  pour savoir comment il mangerait ce chat et commença à réfléchir à l’énigme, après trois heures, il dit : ” Tu peut répéter s’il te plaît ”, le chat lui répéta son énigme et Connard trouva enfin la réponse :” C’est Mitte-errant ” dit-il avec joie. Le chat lui posa alors la seconde énigme : “ Le matin je suis sur quatre patte, à midi je suis sur  deux patte et le soir je mange des pattes, qui suis-je ? ” Connard hésitait :” Un handicapé, un con, non c’est trop dur mais je vais quand même tenter une réponse.” Et il dit tout haut : “ Le mille-pattes ? ” Et le chat fit “oui” de la tête, et annonça la dernière énigme : “ Sachant qu’un bateau part à neuf heure du matin le 30 décembre 1999 de Brest, que sa vitesse est de 35 miles à l’heures, et sachant qu’il transporte une cargaison de 50 tonnes de bois mort et 123 hommes d’équipages, qu’il s’est  arrêter en plein milieu de la mer pour repêcher des naufragés, qu’il a reprit sa route avec un vent de 123 nœuds et qu’il suit un axe nord-sud-ouest, qu’il a plongé dans une faille spatio-temporelle dans le triangle des Bermudes et qu’il a eut le bug de l’an deux mille, à quelle heure de quel jour atteindra-t-il le port de Marseille entier ? ” Grâce à un cerveau très évolué Connard le Chien réfléchissait ce qui était rare pour lui qui attaquait avant de penser à son attaque : “ Alors, trente, plus, douze, plus, mille neuf cent quatre-vingt dix-neuf, multiplié par, trente cinq, le tout ajouté à cinquante fois, cent vingt-trois, ce qui donne : soixante-dix sept mille cinq-cent quatre-vingt cinq. Ce résultat divisé par la constante de le l’Univers infini, ce qui fait 77585 divisé par la racine cubique de v² fois la vitesse de la Lumière au carré sur  l’inverse de l’orbite d’apogée de la station Mir express (pour laver même sans frotter le linge qui ne peut pas attendre) ce qui donne comme résultat : Le 02 Janvier 2000 à 06 heures 32 et 16 secondes avec plus ou moins quatre centièmes de seconde.” Le chat était stupéfait mais il ne vivat plus longtemps après car Connard le digéra en quelque secondes puis Connard réapparut, et dit (en aboyant, ce qui n'est pas très compréhensible) : “ Je suis le Maître du Monde, prosternez vous devant moi, bande de larves puantes qui sentent pas bon ! ” C’est alors que mon cousin arriva vers Connard et le mangea après avoir répondu aux trois énigmes.

Nicolas "Youppie !" RIOLI

Retour

Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées serait incroyable et nous serions extrêmement désolé pour eux pour avoir une vie aussi étrange et absurde. En plus on a écrit ceci totalement par hasard et on y peut rien : ça sort directement de notre imagination, nous ne nous sommes inspirer d'aucune source et d'aucuns faits réels (ou plutôt irréels) et en plus : tralala tsouin tsouin. C'est cool, n'est-ce pas ? Fin

THE END